Un jour, j’ai décidé de faire des recherches sur l’adoption internationale. Je me suis fait un dossier et je parlais par courriel à des femmes seules qui avaient adopté un enfant. Je voulais que ce rêve reste très secret. Alors, entre deux travaux universitaires, j’allais voir si je n’avais pas de messages pour grossir mon dossier d’adoption. Je me suis aussi renseignée dans les agences d'adoption. J’ai commencé par l’adoption internationale et j’ai réalisé qu’il y avait un questionnaire qui n’en finissait plus sur la famille, sur ma santé, sur la santé de l’enfant adopté et plusieurs autres sections. Je m’étais aussi renseignée sur l’adoption au Québec ce qui n’était pas facile. Avant d’adopter légalement, il fallait être « famille d’accueil ». Puis, après plusieurs années, si le parent renonçait totalement à reprendre son enfant, on pouvait alors adopter. J’ai donc laissé tomber cette option, car au point de vue de la santé de mon côté ce n’était pas très positif.
Ariane
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1 commentaire:
Rebonjour Arianne, c'est encore tes voisins d'à côté, nous avons pris connaissance de ton second texte et te communiquons nos réactions:
Nous sommes désolés que tu n'ais pu réaliser ton rêve et nous espérons que tu continueras à en avoir d'autres. Lucie et Suzanne que te côtoient régulièrement te comprennent davantage et apprécient ta grande disponibilité et ton humour.
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