29 avr. 2008
À la recherche d'un meuble d'ordinateur
Suite du grand saut
28 avr. 2008
Le Bien-Être
M'investir dans ce qui m'enthousiasme
J’ai appris par mon cheminement spirituel et avec la lecture du livre de Jean Monbourquette: À chacun sa passion :
"que chaque personne ressent au plus profond d’elle le besoin de s’épanouir dans un agir correspondant à son identité, au service d’une communauté."
J’ai longtemps cherché dans quoi et comment je pouvais m’engager afin d’être utile aux autres. En fréquentant Centre Communautaire Radisson, j’ai eu la chance de suivre plusieurs ateliers en informatique. À mesure que je développais des compétences, on me demandait d’aider certains membres avec l’utilisation de l’ordinateur.
Cette année, je participe activement au projet de tutorat en informatique. J’accompagne deux personnes dans l’emploi de l’ordinateur. J’ai aussi des ateliers pour continuer de développer mes habiletés personnelles. Je suis contente de donner un coup de main en informatique et de goûter aux joies et aux difficultés que Lucie et Mario, enseignants au CREP, vivent.
Je crois que toutes personnes devraient avoir la chance de découvrir le domaine d’activité qui l’enthousiasme et de pouvoir s’investir pleinement.
AU DIABLE LE MONDE ORDINAIRE
Au Québec comme dans bien d’autres sociétés dites démocratiques et développées, paraître élitiste, en public comme en privé, figure maintenant parmi les nouveaux péchés capitaux, aux côtés de l’improductivité, de la non-rentabilité, de la gratuité et du mépris des sacrosaintes lois du libre marché, entre autres fautes jugées totalement impardonnables. Il en va ainsi chez les syndicats, les partis politiques, dans les diverses instances démocratiques, partout. Il fut un temps où la Confédération des syndicats nationaux (CSN) avait comme cri de ralliement « Nous, le monde ordinaire ». Cette association de travailleurs en aurait-elle alors contre le monde extraordinaire auquel elle s’opposerait? Y a-t-il donc lieu de s’enorgueillir ainsi d’être ordinaire? De la part de syndicats, ce genre de platitude démagogique me déçoit énormément, et ceci d’autant plus qu’il est, de surcroît, mensonger et même un tantinet hypocrite. Car les syndicalistes, que je connais assez bien puisque je suis des leurs, n’ont souvent rien d’ordinaire et constituent même, ne leur en déplaise, une véritable élite de militants.
« Les gens ne veulent pas savoir, ils veulent croire. », a dit Mario Dumont. Or toute démagogie se fonde justement sur cette assertion, et sans parler bien sûr des religions … Mais parlons-en quand-même de celles-ci. Dans la Genèse biblique, n’est-il pas écrit que Dieu chassa Adam et Ève du paradis terrestre pour avoir osé croquer « le fruit de l’arbre de la science, du bien et du mal. »? Ainsi, selon les Saintes Écritures, parce que ses premiers représentants eurent l’impudence (et l’imprudence) d’accéder au savoir (l’arbre de la science, …) et à la conscience (… du bien et du mal) en se débarrassant de leur innocence, le Créateur condamna l’humanité entière au malheur sur terre jusqu’au jugement dernier. Par ailleurs, le Christ n’a-t-il pas dit, tel que rapporté dans les Évangiles : « Bien heureux les simples d’esprit car le royaume des cieux est à eux. », ainsi que « Soyez comme des petits enfants devant les mystères de Dieu. »? Imaginons donc la joyeuse bande d’imbéciles heureux qui se retrouverait au ciel, et à l’inverse la triste assemblée de génies qui brûlerait en enfer, avec entre les deux tous ces gens d’intelligence moyenne contraints au purgatoire de se départir graduellement de leurs gênantes facultés mentales et de revenir à l’innocence de leur petite enfance pour enfin mériter le salut éternel, hi hi.
Plus sérieusement, un physicien déclara dans Québec Science que, pour lui, faire de la physique et en parler est devenu du militantisme politique. Dans le monde actuel en effet où prévalent partout les idées simples et les conversations banales, où quiconque exprime des idées complexes ou développe des raisonnements subtils trouve peu d’audience ou de diffuseurs, produire des connaissances scientifiques et exposer la conception du monde qui en découle reviennent à combattre la démagogie et l’obscurantisme qui nous menacent de plus en plus.
Mais certaines autorités ne semblent guère partager tout à fait ce genre de préoccupations allant dans le sens de la lutte à l’ignorance et de la diffusion large de la connaissance objective. Du côté des religions encore une fois, un prêtre catholique soutint la thèse, à la radio de Radio-Canada, que la Genèse biblique explique au peuple peu instruit le commencement du monde et les origines de l’homme dans des termes qu’il peut comprendre. Plus explicite encore, un théologien des temps anciens considérait que tenter de faire comprendre de manière rationnelle les vérités fondamentales aux petites gens équivaudrait à « jeter des perles aux pourceaux ». Ainsi devrait-on, selon cette logique, ne réserver la traduction sophistiquée ou savante de la doctrine qu’aux élites instruites afin de nourrir leur « foi éclairée », une autre traduction, simplifiée ou littérale celle-là, étant destinée aux masses ignorantes pour entretenir leur « foi du charbonnier ». Cette sacralisation, étrangement teintée de mépris et de paternalisme (parfois revêtus du blanc manteau de la compassion), des « humbles », des « petites gens », du « peuple », bref du « monde ordinaire » plonge donc ses racines dans les fondements mêmes de nos civilisations.
Pour ma part, j’estime qu’il ne m’appartient pas de conforter les gens dans leurs systèmes de croyances, religieuses et autres. Cependant, s’ils désirent en connaître l’origine, l’histoire, la logique, les fonctions et les liens avec d’autres systèmes de même nature, les relativiser en les mettant en perspective par la distanciation qu’exige l’analyse objective autrement dit, il me fera alors immensément plaisir de les accompagner dans leur cheminement. Par contre mon rôle, tel que je le conçois, consiste plutôt à les aider de mon mieux dans leur quête du savoir par l’usage de la raison, ainsi que dans leurs efforts visant à étendre leur culture générale, le tout axé sur le développement personnel et l’acquisition d’une conscience citoyenne. Et voilà l’esprit même de mon engagement au Centre communautaire Radisson (CCR), un organisme voué principalement à l’éducation d’adultes ayant de lourdes déficiences physiques. Ainsi peut-on considérer le présent texte comme le manifeste de mon implication au CCR.
Élitiste je suis diriez-vous? Point du tout, bien au contraire! Car j’ai toujours eu tendance, à tort ou à raison, à traiter les autres comme des égaux, avec tout ce que cela implique de respect mais aussi de sévères exigences. De la condescendance, il ne faut pas en attendre de ma part, et les mots charité et compassion me donnent l’urticaire. Quant à l’amour envers ceux qu’on aide et qui nous aident, je le veux respectueux, dévoué, égalitaire et … hédoniste. Hédoniste parce que le don de soi sans qu’on y prenne plaisir n’engendre que l’aigreur et que l’on en arrive en fin de compte à faire plus de mal que de bien. Donc, à bas le don de soi sacrificiel! Dans la même ligne de pensée, j’estime que les gens, ordinaires ou extraordinaires, et tout particulièrement les personnes handicapées, ont droit à une nourriture intellectuelle et culturelle vraiment digne de l’intelligence et de la sensibilité humaine. Cessons donc de les prendre pour des abrutis et alimentons les d’autres choses que de fables, de mythes, de sophismes, d’histoires à dormir debout et autres niaiseries. Voilà du moins l’orientation que j’ai la très ferme intention d’encourager au CCR.
Je tiens en outre à préciser que, contrairement à ce que mes propos pourraient laisser croire, je ne suis pas né avec une cuillère d’argent dans la bouche, oh que non! De très humbles origines, avec une paralysie cérébrale de naissance et un séjour de trois ans en classes dites allégées pour retardés mentaux à ce qu’on appelait à l’époque « l’école des enfants infirmes » (Victor-Doré), j’avais vraiment tout pour passer toute ma vie dans la misère, l’ignorance et l’exclusion sociale. Mais suite à une cruelle prise de conscience, survenue au début de l’adolescence et provoquée en partie par la mort de ma mère au terme d’une longue et horrible maladie, du sort pitoyable qui m’attendait si je laissais les choses suivre leur cours sans réagir énergiquement, il en fut tout autrement. Ainsi suivis-je un parcours académique et socioprofessionnel tout aussi incroyable qu’improbable qui me mena jusqu’à un doctorat en sociologie à Paris puis, au prix d’âpres combats contre la discrimination et d’épreuves des plus affligeantes, à une carrière de professionnel (chercheur) au gouvernement du Québec, en plus de charges de cours à l’université et autres invraisemblances pour quelqu’un dans ma condition. Et comment donc s’y prend-on pour se tirer d’affaire avec autant d’élégance « lorsque l’on part aussi vaincu » (comme dit Jaques Brel)? Disons que, en résumé, on décide à un moment donné de cesser de s’apitoyer sur soi-même, de s’enlever les doigts du nez, de mettre son « ordinateur neurophile » (nom que Léo Féré donne au cerveau) sur « on » et de s’engager résolument dans son développement personnel en cultivant sa curiosité, son ouverture au monde, son goût d’apprendre et surtout sa rage de vivre.
Je veux donc au CCR œuvrer, avec la collaboration de tous et toutes, à la mise en place et à la consolidation de conditions qui permettent à toutes les personnes qui le fréquentent, mais avant tout aux membres, de s’y épanouir pleinement, de se dépasser même s’ils le souhaitent, et ainsi de prendre de plus en plus le contrôle de leur existence, de l’enjoliver et de l’enrichir autant que faire se peut. Cette mission, elle me tient d’autant plus à cœur que beaucoup de membres du CCR, ayant de lourdes déficiences physiques mais toutes leurs facultés mentales par ailleurs, partent de très loin pour avoir longtemps été scandaleusement négligés sur ce plan. Pas mal quand-même comme projet élitiste de retraite pour un fonctionnaire!
Eh puis après tout, et notamment dans le contexte actuel, me faire accoler l’épithète d’élitiste est pour moi beaucoup plus un compliment qu’une insulte. Comme disait un morning man de la radio que j’écoutais en Martinique durant mes vacances de l‘été 1987 : « Passer pour un idiot aux yeux des imbéciles est un délice de fin gourmet. ».
22 avr. 2008
BRIGITTE, MA MEILLEURE AMIE…
Je t’aime beaucoup, c’est pourquoi je veux te dire que quand je t’ai vue au camp je te l’ai dit et quand je suis revenue à la maison, j’ai dit à maman: "je ne reverrai plus une amie que je me suis faite au camp."
Un jour, j’étais dans ma chambre, maman a répondu au téléphone et c’était pour moi, alors je réponds et c’était toi. Tu m’as surprise, je ne t’avais pas reconnue mais j’étais bien heureuse quand tu m’as dit qui parlait. À partir de ce moment, j’ai toujours attendu ton téléphone avec impatience. Lorsque nous nous rencontrions, c’était encore mieux car nous pouvions nous parler encore plus de cœur à cœur.
Ça me fait du bien que tu restes chez nous et, en plus, mes parents t’aiment beaucoup, ils te considèrent comme leur propre fille. Moi, je t’aime plus qu’hier et moins que demain…
Johanne, xx
17 avr. 2008
Je me présente
Cheminement de Suzanne suite
Cheminement de Suzanne suite
Avec tous les intervenants à mon service, j’avais l’impression de me marier avec le C.L.S.C. En divorçant de mon mari, je croyais avoir la sainte paix et vivre ma vie comme je voulais. Mais, il a fallu que je me résigne. On ne voulait pas me lâcher lousse dans la nature. J’étais à la croisée des chemins, je devais choisir le droit chemin pour vivre sainement. J’ai donc poursuivi ma réadaptation, j’étais quand même dans mon logement, c’était un progrès.
Je me suis habituée à vivre dans mon logement. Au début, je me croyais à l’hôtel, mais avec le service en moins. Je me sentais comme un poulet qui s’en va à l’abattoir. J’ai donc terminé ma réadaptation en marchant les fesses serrées.
J’ai participé à des rencontres de femmes ayant un vécu assez lourd et qui veulent s’en sortir. J’ai été référée par mon éducatrice de Lucie Bruneau donc ça m’a pris du temps pour démarrer. Après six mois, j’ai apprivoisé les dames du centre et j’ai commencé à m’ouvrir à elles. J’étais heureuse de constater qu’elles étaient aussi poquées que moi. Chacune à notre tour, nous avons exposé nos problèmes. Puis, nous avons essayé de solutionner nos difficultés sans violence, sans colère, sans bataille et sans vulgarité. Je vous dis qu’on avait du travail à faire.
Après 3 ans de travail ardu, j’ai finalement compris que j’avais de gros problèmes de comportement. Je ne comprenais pas la vie que je menais et j’étais effrayée à l’idée qu’il existait différentes manières d’aimer sainement. Cette situation devenait tumultueuse comme cette rivière à côté de moi et j’étais de plus en plus étourdie.
Un jeu sur Internet
Benoit et son camion
Je vais parler du travail de mon frèreBenoit. C est un camionneur. Il conduit des gros camions. C’est une grosse compagnie ils ont plusieurs camions rouges et jaunes. Mon frère fait de longues distances et aussi il vient à Montréal et Ottawa; il transporte différentes choses. Des fois mon frère et mon compagnon parlent de camionnage. Ils sont heureux quand ils parlent de camion. Et voici le camion qu’il conduit à tous les jours. Je suis fière de mon frère Benoit. Le nom de la compagnie c’est Thibodeau. Chantale
14 avr. 2008
Bye-bye de RBO
En premier, Bruno Landry a imité Frederick de Grandpré. Tout le monde sait que ce dernier a enregistré deux CD. Il avait fait un disque de Noël et son deuxième est fait de reprises de chansons québécoises en jazzy et swing. Il n’a pas fait une bonne imitation de lui parce qu’il faussait et que Frederick de Grandpré chante bien.
Ceux qui regardent l’émission Tout le monde en parle, tous les dimanches soir à 20h, à Radio-Canada, savent qu’avant le générique de l’émission il y a une publicité de yogourt de la marque Yoptimal. Guy A Lepage en barmaid et André Ducharme en Jean Charest ont fait une bonne parodie de cette annonce au bye-bye de RBO.
Pour le numéro de Myriam Bédard la championne olympique qui s’était enfuie avec son enfant et Nima Mazhari. Guy A Lepage faisait Nima et je pense que c’était Yves P Pelletier qui faisait Myriam. J’ai pas aimé ce sketch parce qu’il fait passer Myriam pour une conne et qu’elle ne l’est pas.
Héroutyville : Vous souvenez-vous de cette ville qui s’est fait connaître pour incitation à la haine raciale et au racisme qui s’appelle Hérouville. Ça a été un bon sketch malgré que je ne sois pas raciste.
L’imitation de Véronique Cloutier de la chanteuse Marie-Mai a été bonne. Je ne connais pas beaucoup cette fille, mais je sais qu’elle avait participé à Star Académie en 2003.
Guy A Lepage en Lise Thibault : c’était une parodie de l’annonce de Mastercard rebaptisé Fastercard. Je ne l’ai pas aimée parce qu’on ne sait pas si elle est coupable ou non et il ne faut pas accuser une personne avant d’avoir des preuves.
Mario Dumont a été imité par Yves Pelletier. J’ai trouvé ça drôle parce qu’il a fait de ce chef de l’ADQ un professeur de maternelle avec ses députés qui étaient les enfants.
Yves p Pelletier en Mario Dumont ne l’avait pas. Ce sketch faisait accroire que l’ADQ le parti de Mario Dumont est une école d’enfant. Ce politicien est jeune mais il n’est pas stupide.
Le banquier rebaptisé le caissier était bon avec Véronique Cloutier qui imitait Julie Snyder. Le présentateur avait dit : Julie Schnauzer et l’a surnommée la «dictatrice», mais elle ne l’est pas. Je ne sais pas qui avait fait Brian Mulroney. S’il y a quelqu’un qui l’a reconnu m’écrire la réponse dans la section commentaire à la fin de mon texte. Merci!
Geneviève Janson est une cycliste et elle a avoué qu’elle s’était dopée, pour ceux et celles qui ne le sauraient pas, ça veut dire une personne qui se drogue. André Ducharme l’avait personnifiée avec Yves P Pelletier qui faisait son entraineur. Je n’ai pas aimé ce sketch parce qu’il est temps que les médias la laisse tranquille.
La commission Bouchard-Taylor rebaptisée La conne mission Bouchard-Taylor. C’était des assemblées dans lesquelles différentes personnes s’exprimaient au sujet de l’intégration des immigrants et de leurs répercussions sur les Québécois dits de souche. J’ai aimé ce sketch pour les différentes imitations de personnes de diverses origines ethniques que le groupe faisait.
La publicité de la compagnie canadienne Bombardier a été parodiée. Ils l’ont rebaptisée Bonmerdier. J’ai aimé cette parodie parce qu’il mettait en vedette une barmaid et un client qui aperçoit par une fenêtre un avion qui s’écrase et il dit à la serveuse que l’engin est une réalisation de chez lui. Le client est campé par Yves P Pelletier. J’ai aimé ce sketch parce que la serveuse lui disait des mots en anglais qu’il ne comprenait pas.
Il y a eu une autre publicité qui a été caricaturée. C’est celle de Muslix qui est une céréale. C’était un groupe qui faisait du canot-camping. Bruno Landry imitait Stephen Harper. J’ai aimé ce sketch pour sa parodie.
Guy A Lepage a imité Céline Dion avec son gérant René Angelil interprété par André Ducharme. C’était leur déménagement. Et après une vendeuse montrait les différentes pièces de la maison. Bonne imitation des deux comédiens. Mais Guy A en faisait un peu trop.
Un vidéoclip en dessin a été fait sur le sujet de la malbouffe dans les écoles. J’ai aimé ça parce que ça va faire réfléchir les étudiants sur le besoin de bien manger. C’était sur une chanson anglophone par un groupe que je ne connais pas. S’il y a quelqu’un d’autre qui a vu le bye-bye et qui peut me le dire, écrire la réponse dans la section commentaire à la fin de mon texte.
Bons baisers de France a été caricaturé et le titre de l’émission était Bons bébés de France. Julie Perreault faisait France Beaudoin nommée France Babouin. Ils ont exagérés parce que France Beaudoin n’est pas comme cela.
Le moment de vérité a été parodié par Le moment de nullité. Yves P Pelletier ne l’avait pas. Il a un peu exagéré.
Le magazine 7 jours a été caricaturé et ils l’ont rebaptisé le séjour. Il faisait référence à la condamnation de Claude Dubois pour avoir eu de la drogue sur lui. Je n’ai pas aimé ce sous-entendu qu’ils ont faits à propos de cet évènement de sa vie.
Découvercle : Bonne imitation de Bruno Landry de l’animateur de Découvertes Charles Tisseyre.
Les nouvelles tvya : bonne imitation d’André Ducharme en Claude Poirier alias clown Poirier. Guy A Lepage a caricaturé Alexandra Diaz une chroniqueuse culturelle au réseau TVA et c’est exagéré. Bruno Landry a fait une caricature de Louise-Josée Mondoux qui démontrait les choses qu’on pouvait faire avec le pistolet Taser.
André Ducharme en Denise Bombardier l’avait mais le maquillage était laid. Elle n’est pas laide. Yves P Pelletier en Ron Fournier qui anime une tribune sportive à la radio. Il a exagéré.
Pour souligner l’arrivée de 2008, le groupe humoristique Rock et Belles oreilles ont chanté sur l’air de Dégénération de Mes aïeux. Les paroles ont été changées.
Message à la nation : Guy A Lepage en Pauline Marois a été excellent. Depuis un bout de temps, le monde rit de son anglais. Je trouve qu’ils exagèrent, mais bon c’était pour faire rire le monde en cette fin d’année.
Ils ont fait une publicité pour un nouveau jeu qui s’inspirait de l’effondrement de l’autoroute 19 à Laval le 30 sep 2006. Il ne faut pas rire de ces drames-là.
Les deux téléréalités ont passé au batte. Occupation double renommée Pénétration double. L’autre est Loft story renommé Libéral Story. J’avais jeté un coup d’œil sur Loft story mais je n’ai jamais regardé Occupation double. C’est comme un critique de télévision qui a déjà dit de cette formule-là que c’est une perte de temps. Je pense comme lui.
110% l’émission sportive que je trouve plate a été parodiée par 10% de quotient. Ils parlent tous en même temps et c’est énervant.
Denis St-jean
7 avr. 2008
Radisson en acrostiche
Son personnel, rend les membres heureux.
Accompagnateurs, et préposés
Toujours au poste pour nous aider.
Dans le domaine de la direction, François Pageau,
Organise le Centre pour qu’il devienne beau.
Indispensable et sans caprices
Les bénévoles sont toujours là
Pour rendre service.
Serviable; Warda l’administratrice adjointe
Est là pour vous, soyez sans crainte.
Sans souci ni retard, Serge Janelle
Est toujours prêt quand on l’appelle.
Organisés et très patients
Les professeurs du CREP
Font des membres; des étudiants.
Ne laissons pas passer inaperçus
Nos nombreux animateurs
Qui présentent des activités de leur cru.
3 avr. 2008
Jonathan Roy, son of Patrick , Destroys Bobby Nadeau
Patrick Roy et son fils ont été mis hors de la partie tous les deux, l’entraineur adverse aussi a eu des sanctions. ¨¨Un entraineur adjoint va les remplacer. Lors du dernier match contre les Saguenéens de Shawinigan, on l’a annoncé à la télévision et aux nouvelles. Patrick Roy a été suspendu pour 5 parties, son fils Jonathan quant lui a été suspendu 7 parties.
Il s’agit d’une agression gratuite. Jonathan Roy a provoquer le gardien adverse, qui n’a rien fait, il s’est protégé le mieux qu'’il pouvait.
À la partie suivante, les Saguenéens de Shawinigan on été éliminé, donc Patrick Roy peux dormir en paix et penser à la prochaine équipe qu'il affrontera.
Une fée et la musique
Les Olympiques 2008 à Beijing
Aujourd’hui, j’aimerais vous parler du conflit entre le Tibet et La Chine
"La révolte tibétaine, à quelques mois des Jeux de Pékin, illustre le problème que la Chine craint d'avoir au moment des Olympiques. Le gouvernement chinois veut montrer au monde entier, à l'occasion des jeux, que la Chine est une société harmonieuse qui est en train d'émerger comme la prochaine puissance mondiale. Les images des manifestations à Lhassa sont un rappel brutal que la réalité de la Chine est plus complexe. "
.source; Radio-Canada/nouvelles
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/carnets/2008/03/20/98928.shtml?auteur=2065
Méchant hiver!
Ce que je n’aime pas.
Quand je suis à la maison je regarde la télé et j’écoute la radio.
Surtout la musique de Céline Dion et à la télé je suis le match de hockey et les informations.
Chantale et ses professeurs du CREP
Je me présente; Chantale Ayotte. Je voudrais parler de deux professeurs que j’admire beaucoup c’est Lucie Leroux et Mario Pelland.
Ils sont très gentils, formidables ils sont toujours là pour moi quand j’ai besoin d’eux. Ils me disent que j’ai un beau sourire et de beaux yeux. Quand je suis chez moi je pense à Lucie et Mario.
Et quand je suis à Radisson je suis contente de les voir ils sont des professeurs du CREP. Les cours de Mario le jeudi c’est Géo/cuisine et Journal/blogue. Lucie elle, donne des cours d’informatique dont je fais partie. J’ai appris de Mario et Lucie comment faire un blogue sur Internet et je suis fière de moi. Ils sont très dévoués et attentionnés. Et voici la conclusion; je voudrais dire que Mario Pelland et Lucie Leroux sont des professeurs merveilleux et je les aime beaucoup.
PAC AH
Cliquez pour voir un artiste de talent, quelqu'un que vous connaissez bien ici à Radisson. Merci à Maria-Héléna et à son équipe pour la réalisation efficace de ce montage.
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